Stéphanie Brocal Vegara
Il est très difficile de prendre conscience de sa dépendance affective, car elle prend soin de bien se cacher la coquine. Et puis, combien d’entre nous sommes prêts à admettre que nous sommes dépendants affectifs? Je suis même sûre que certain se dise dès ces premières lignes, « mais moi je ne suis pas dépendant affectif » si telle a été votre première réaction, je vous invite à continuer cette lecture.
Soyez honnête avec vous même et répondez à toutes ces questions.
« Je m’aime »
Mais que ces mots sont difficiles à prononcer pour certaines personnes, c’est presque impensable pour elles.
Aujourd’hui je voudrais partager avec vous un exemple de « discours favorable » qu’on peut être capable de s’adresser à soi-même après seulement quelques séances de coaching.
Merci P. de me permettre de le publier aujourd’hui
« Je prends soin de moi en commençant par penser à moi et à mes enfants.
Je suis quelqu’un de bien.
Je suis tout à fait capable de m’épanouir dans un travail qui me correspond.
Je souhaite vivre le temps présent pour être la plus heureuse et la plus sereine possible.
Le positif amène le positif.
J’ai confiance en l’avenir pour atteindre mon objectif: « être heureuse » »
c’est pas merveilleux de lire ça?
Moi je ne m’en lasse pas!
Alors si vous aussi vous avez envie d’apprendre à vous aimer, pensez au coaching, c’est vraiment la méthode qu’il vous faut!
Stéphanie Marchand
Voici un exemple de bocal des privilèges mis en place par une famille avec qui je travaille.
L’enfant doit effectuer des missions adaptées à son âge, du type mettre la table, débarrasser le lave-vaisselle, ranger sa chambre, etc… qui lui permettent de gagner des perles, (vous pouvez également le faire avec des coquillages, billes, cailloux…) et il peut ensuite échanger ses perles contre des privilèges (1h de jeux vidéos, 1 nouveau livre, un massage, une histoire…).
Ce système aide à l’enfant à travailler la motivation, à grandir et à comprendre que tout ne lui ai pas du, qu’un plaisir appelle un effort.
Si vous souhaitez en savoir plus, n’hésitez pas à me contacter.
Aujourd’hui j’ai envie de vous parler du TDAH chez l’enfant. Ce trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité reste méconnu de beaucoup alors que de plus en plus d’enfants sont concernés, mais parfois le diagnostic tarde et la prise en charge aussi, ce qui engendre une certaine souffrance psychologique chez l’enfant se sentant incompris.
Ce trouble de l’attention et du comportement se manifeste chez l’enfant par :
A certains moments de notre vie, on tombe à tout vitesse dans un gouffre qui nous semble si profond que nous pensons jamais pouvoir en ressortir, et pourtant…
Comme on dit souvent « on touche le fond », et comme nous faisons les choses bien, on ne se contente pas de toucher le fond dans un seul domaine, mais dans tous les domaines de notre vie : l’émotionnel, le physique, le social et le professionnel.
Une fois au fond de notre gouffre on reste là, paralysé par la peur, envahi par une tristesse immense, ce qui engendre l’apparition de divers troubles de l’humeur.
Continuer la lecture de « Quand on a touché le fond, on ne peut que remonter ! »
Le baby blues et la dépression post-partum sont deux sujets à ne pas confondre et dont il est important de parler sans en avoir honte.
Le baby blues ou « syndrome du troisième jour », comme on l’appelle parfois, apparaît chez la maman dans les premiers jours qui suivent la naissance de l’enfant. Les symptômes les plus fréquents sont l’irritabilité, l’anxiété, la vulnérabilité et de magnifiques sautes d’humeur (ça fait sourire les papas!).
Cette réaction s’explique par des changements physiologiques importants, les hormones chutent d’un coup, le stress augmente et le sommeil diminue. Mais le baby blues ne dure pas, il varie entre quelques heures et 15 jours maximum selon les femmes.
Des moyens simples vous permettront de dépasser ce baby blues rapidement :
Informez votre conjoint et votre entourage que vous ne vous sentez pas bien et que vous avez besoin de leur aide pour s’occuper de bébé, de la maison, pour aller faire les courses, etc…
Prenez soin de vous : organisez vous pour essayer de dormir un peu, prenez plaisir à prendre une douche, créez un environnement calme et apaisant (bougie, lumières tamisées, musique douce, etc…), faites-vous plaisir!
Sortez avec votre bébé faire une promenade par exemple.
Continuer la lecture de « Baby blues et dépression post-partum, à ne pas confondre ! »
La limérence, un mot qui peut-être va vous paraître bien étrange et pourtant vous le connaissez sans le savoir. C’est le nom que l’on donne à ce qui se passe en nous quand nous recevons une flèche de Cupidon en plein cœur. Ce terme, à première vue n’a rien de romantique, et pourtant c’est ce qui se produit lorsque certaines émotions et pensées apparaissent de manière inconsciente au moment où nous tombons amoureux. Ce fameux moment où on se sent « pousser des ailes ».
L’idéalisation de l’autre, le bonheur inexplicable, l’envie de se trouver en permanence en sa compagnie, l’absence de perception du danger (« l’amour rend aveugle ») sont tous des symptômes de la limérence. La plupart du temps ces symptômes disparaissent quelques mois après le début d’une relation. La limérence repart alors comme elle est venue, elle fait place aux sentiments.
Continuer la lecture de « La limérence, la magie de tomber amoureux. »
L’épuisement psychologique, qu’est ce que c’est ?: Un état émotionnel qui nous affaiblit physiquement et mentalement.
C’est le résultat d’une addition assez contradictoire, celle des “trop” : (trop de décisions, trop de pensées, trop de travail, trop d’obligations, trop d’angoisses…) et des « pas assez » (pas assez de temps, pas assez de sommeil, pas assez de calme, pas assez d’énergie…).
Nous avons tous connu cette sensation un jour ou l’autre, cette usure à tous les niveaux, cette impression de se noyer un peu plus chaque jour. Ne plus savoir comment faire pour arriver à tout gérer et se sentir complètement débordé et inefficace malgré nos gesticulations incessantes et abondantes.
Continuer la lecture de « L’épuisement psychologique, lorsque la goutte d’eau devient trop lourde! »
Nous connaissons tous ce fameux « STRESS » présent dans notre quotidien, mais qui est-il ?
Lorsque nous sommes dans une situation inhabituelle, notre cerveau détecte les dangers potentiels qui nous entourent, il nous envoie un message d’alerte dans différentes parties de notre corps, dans nos organes, à travers une décharge importante d’adrénaline et de cortisol (hormones du stress).
La respiration devient plus courte, la circulation sanguine se fait plus rapide, nous commençons à transpirer, nos pupilles se dilatent, etc…
Il ne faut pas voir le stress forcément comme un ennemi, il est positif lorsqu’il est justifié. C’est à dire qu’à partir du moment où une menace est réellement présente, notre cerveau nous prévient du danger. Dans ces circonstances, le stress est généralement modéré et ne dure pas longtemps. C’est une façon d’obtenir un supplément d’énergie, de pouvoir penser et réagir plus rapidement.
Mais le problème c’est que le stress est devenu chronique et que notre corps n’est pas programmé pour une accumulation d’adrénaline et de cortisol au quotidien, qui sur du long terme aura des effets dévastateurs.
Pour traiter une condition psychologique liée au stress, les médicaments ne sont pas les seuls recours possibles. Nous devons nous pencher sur des techniques ancestrales qui ont fait leur preuves. Elles sont faciles à mettre en œuvre, elles ne demandent aucun entraînement et elles peuvent nous permettre d’atteindre un grand état de bien-être, en très peu de temps.
Continuer la lecture de « Le Jin Shin Jyutsu, un art japonais qui permet de diminuer le stress »
Aujourd’hui j’ai envie de vous parler de ce trouble, la dysorthographie, peu connu malgré le grand nombre de personnes qui en souffre. Cela fait longtemps que je constate avec tristesse qu’il était parfois difficile d’en parler, car le regard des autres n’est pas toujours bienveillant car ce trouble, comme tous les troubles DYS (Dysfonctionnement), reste assez méconnu.
La dysorthographie est un trouble de la famille des DYS qui se manifeste dans l’acquisition et l’assimilation de l’orthographe. L’enfant qui en souffre éprouve de grandes difficultés à maîtriser les règles orthographiques, ce qui entraîne une certaine complexité dans l’écriture. Elle est généralement la conséquence d’un trouble de l’apprentissage.
Je tiens à souligner que ce n’est pas un problème « psychiatrique », car j’ai déjà pu croiser un enseignant du second degrés qui pensait que c’était le cas !